Hôpitaux et fresques : l’art est-il bon pour la santé ?

Traverser les couloirs d’un hôpital ou d’une maison de retraite… En plus du contexte angoissant qui nous y amène, l’environnement est particulièrement froid et austère, sans compter leurs odeurs si particulières. Monsieur Peinture vous montre l’intérêt de l’art.

L’art est-il bon pour la santé ?

Mais, comment l’art peut-il renforcer la relation soignante / patients / lieux de soin ? L’intervention d’artiste sur les murs place le patient sur un autre registre que celui de la maladie. De plus, l’art permet de retisser un lien, de remettre de l’humanité et de la sérénité dans un espace aseptisé.

« Le patient comme le soignant sont vus différemment et sont alors perçus comme des êtres sensibles et égaux, capables d’apprécier, ensemble, une œuvre. L’art procure aussi au patient un mode irremplaçable d’expression. Il participe ainsi, dans un processus de soin, à la reconquête d’une identité que la maladie a pu malmener », résume Roselyne Bachelot-Narquin.

Fresques murale, expositions, team building… De belles initiatives que l’on aimerait voir plus souvent.

Voici notre sélection des plus belles fresques dans des hôpitaux

  • Gensler & Clive Wilkinson pour le centre Shirley Ryan AbilityLab à Chicago
  • Diadem pour le Royal Children’s Hospital (RCH) de Melbourne
  • Morag Myerscough pour l’hôpital pédiatrique de Sheffield
  • Keith Haring à l’hôpital Necker de Paris
  • Demibold  à l’hôpital Sant Joan de Déu à Barcelone
  • Invader à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris
  • Chris Haughton pour l’hôpital des enfants de Londres (service d’évaluation pédiatrique)
  • Morag Myerscough pour l’hôpital des enfants de Londres (Le service trauma et gastro-entérologie)

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